Le burn-out au travail est de plus en plus fréquent. Il ne résulte pas d’un manque de volonté, mais d’une surcharge chronique liée à un environnement de travail délétère. Comprendre ce phénomène est essentiel pour agir à temps.

« Je voulais bien faire. Être efficace, disponible. Alors j’ai commencé à répondre aux mails le soir, à rester joignable tout le temps… et puis, un jour, je n’ai plus pu avancer. »

Le burn-out au travail n’est pas une fragilité personnelle. C’est une réponse logique à un déséquilibre prolongé entre ce que l’on vous demande et ce que vous pouvez réellement fournir.

Dans notre société, l’engagement est souvent survalorisé :
🔹 Des entreprises en quête de performance continue.
🔹 Des salarié·es qui veulent bien faire, coûte que coûte.
🔹 Un quotidien où les limites personnelles s’effacent.

➡️ Un salarié investi n’est pas inépuisable.
➡️ Une entreprise durable ne peut pas reposer uniquement sur la sur-adaptation de ses employés.

Le burn-out au travail survient quand ce déséquilibre devient insoutenable. Fatigue chronique, insomnies, irritabilité… Les signes sont là, mais souvent minimisés.

💡 Sortir de cette spirale, ce n’est pas « tenir encore un peu », mais reprendre du pouvoir d’agir sur son travail, repenser ses limites, retrouver du sens.

📌 Pour mieux comprendre, vous pouvez consulter ce dossier sur le burn-out publié par l’INRS.

💡 Sortir de cette spirale, ce n’est pas « tenir encore un peu », mais reprendre du pouvoir d’agir sur son travail, repenser ses limites, retrouver du sens.

🎧 Dans mon podcast Paroles de burn out, des personnes témoignent de leur chute… et de leur reconstruction. Parce que parler, c’est déjà transformer.