Rozenn raconte la suite de son parcours, après l’effondrement. Elle évoque la culpabilité d’être arrêtée, le sentiment d’avoir « perdu toutes ses petites cuillères d’énergie », et la difficulté à se reconstruire quand le corps lâche.
Dans cet épisode, elle décrit :
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l’invisibilisation progressive qui l’a enfermée dans l’isolement ;
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la violence d’un effondrement qui se traduit par des symptômes physiques sévères (capsulite, inflammations, insomnies) ;
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la fatigue invisible, incomprise par l’entourage : on a « bonne mine » mais on ne peut plus rien faire ;
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la lente reconstruction, entre solitude, céramique, création d’une activité indépendante et groupes de parole.
Un témoignage qui montre que le burn-out n’est pas une faiblesse individuelle, mais bien la conséquence d’un travail qui n’offre plus ni reconnaissance, ni possibilité de tenir ses valeurs.
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🎵 Musique d’intro et d’outro : Cvilni Violin – – Music by Adi Iswanto from Pixabay
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